LE SAVOIR DE LA PEAU
Chaliand Gerard
Description :
" Un des meilleurs géostratèges contemporains. Clair, direct, lucide, très expérimenté, original, il est à la fois engagé et rigoureux. " Hubert Védrine
" J'ai participé, dans la mesure de mes moyens et de la façon qui me convenait le mieux, à l'histoire de mon temps. J'étais présent partout où j'ai pensé qu'il fallait l'être et je devrais ajouter que j'y ai pris plaisir, bien que ce terme ne rende pas compte du caractère tragique de ce que j'ai observé.
Qu'ai-je cherché au cours de ces traversées du monde ? L'aventure, sans l'ombre d'un doute, l'action, le risque. Des échanges par-dessus tout, l'amour, l'amitié... Tout cela formait un tout, où le savoir de la peau, acquis sur divers fronts, se transformait en expérience à partager. "
Homme de terrain, Gérard Chaliand a été, au cours du demi-siècle écoulé, un observateur-participant des guérillas d'Asie, d'Afrique et d'Amérique latine. Il a enseigné à Harvard, Berkeley, UCLA, ainsi qu'à l'Ena et à l'École de guerre, tout en menant sa vie librement.
Faisant suite au premier volet de ses mémoires (La pointe du couteau, Robert Laffont, 2011), ce récit relate l'itinéraire d'un irrégulier, ses enquêtes et ses expériences de terrain à travers l'histoire mouvementée des quatre dernières décennies.
Notice biographique :
Après avoir établi un bilan des mythes révolutionnaires du tiers monde (Guérillas et Socialisme, Seuil, 1976), Gérard Chaliand, né en 1934, a contribué au renouveau des représentations cartographiques de la géopolitique (Atlas stratégique, Fayard, 1983) et à la connaissance des guerres asymétriques (Le Nouvel Art de la guerre, L'Archipel, 2008), avant de signaler et d'analyser le reflux de l'Occident à travers ses échecs (Pourquoi perd-on la guerre ?, Odile Jacob, 2016). Il est, par ailleurs, poète (Feu nomade, Poésie Gallimard, 2016).
" Un des meilleurs géostratèges contemporains. Clair, direct, lucide, très expérimenté, original, il est à la fois engagé et rigoureux. " Hubert Védrine
" J'ai participé, dans la mesure de mes moyens et de la façon qui me convenait le mieux, à l'histoire de mon temps. J'étais présent partout où j'ai pensé qu'il fallait l'être et je devrais ajouter que j'y ai pris plaisir, bien que ce terme ne rende pas compte du caractère tragique de ce que j'ai observé.
Qu'ai-je cherché au cours de ces traversées du monde ? L'aventure, sans l'ombre d'un doute, l'action, le risque. Des échanges par-dessus tout, l'amour, l'amitié... Tout cela formait un tout, où le savoir de la peau, acquis sur divers fronts, se transformait en expérience à partager. "
Homme de terrain, Gérard Chaliand a été, au cours du demi-siècle écoulé, un observateur-participant des guérillas d'Asie, d'Afrique et d'Amérique latine. Il a enseigné à Harvard, Berkeley, UCLA, ainsi qu'à l'Ena et à l'École de guerre, tout en menant sa vie librement.
Faisant suite au premier volet de ses mémoires (La pointe du couteau, Robert Laffont, 2011), ce récit relate l'itinéraire d'un irrégulier, ses enquêtes et ses expériences de terrain à travers l'histoire mouvementée des quatre dernières décennies.
Notice biographique :
Après avoir établi un bilan des mythes révolutionnaires du tiers monde (Guérillas et Socialisme, Seuil, 1976), Gérard Chaliand, né en 1934, a contribué au renouveau des représentations cartographiques de la géopolitique (Atlas stratégique, Fayard, 1983) et à la connaissance des guerres asymétriques (Le Nouvel Art de la guerre, L'Archipel, 2008), avant de signaler et d'analyser le reflux de l'Occident à travers ses échecs (Pourquoi perd-on la guerre ?, Odile Jacob, 2016). Il est, par ailleurs, poète (Feu nomade, Poésie Gallimard, 2016).
20,00€ TTC
Éditeur(s)
Archipel
Date de parution
10/03/2022
Genre
TEMOIGNAGES
Format
225.00 x 140.00 mm
EAN
9782809843958
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